La dépigmentation est leur religion, et les produits décapants, leur dieu. En Côte d’Ivoire comme dans de nombreux pays africains, elles se sont presqu’interdites de garder le teint noir. Séduction ? Effet de mode ? … Silence on se décape.
Sassandra. L’étranger peut y prendre aisément ses quartiers. Ce « havre de paix », situé entre la mer et le fleuve, regorge de richesses qui en font une ville particulière.
Prévenir ou guérir ? Oui ! Ces pathologies nous font beaucoup frémir ! Ces maladies sont pour la plupart chroniques. Ce qui impose un traitement à vie. Mais il n’y a pas de raison de paniquer. Les progrès de la médecine « chimique » permettent de vivre plus longtemps avec une maladie chronique, en contrepartie de soins et règles d’hygiène à réaliser par les patients eux-mêmes.
Qui ne se souvient pas de ces images d’humiliation ? Si ce n’est pas soi-même, on a forcément une personne dans notre entourage qui a subi ou a fait subir ces blessures. Son impact des expériences diffère d’une personne à une autre. L’humiliation, paradoxalement, produit parfois des effets positifs. Dans tous les cas, selon l’écrivain français Christian Bobin : « L’expérience de l’humiliation est comme celle de l’amour, inoubliable. » Allons comprendre.
Parfois courts ou longs, frisés, en dreadlocks… les cheveux crépus, la tendance du moment. Les femmes d’origine africaine arborent leur crinière sans aucun complexe et tabou. La réappropriation de l’identité africaine commence par la tignasse de ces dames. Elles sont Nappy et alors ?
