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Islam

Jeûne du ramadan : quelle attitude après ?

Jeûne du ramadan : quelle attitude après ? © Esprit Magazine

Ce n’est pas de la fiction. Abidjan, jour de fête, tempête de brouhaha, les rues sont chaudes, prises en otage, par des filles de joie sifflotant à la vue du moindre passant, comme des vipères à la recherche de leur proie. Les maquis et les boîtes de nuit s’embellissent et se parent également pour l’évènement. C’est le vrombissement de la musique, et, autour de casiers d’alcools défenestrés, les compagnons fidèles, Manès, Mosès, Ashley ; Derrière ces camouflets, Mamadou, Moussa et Aicha. Ils viennent de passer tout un mois de jeûne, et leur présence en ces lieux, selon leur entendement, n’est que bien méritée ; Ramadan s’en est allé, et vive la liberté !

Et les mosquées devenues subitement orphelines s’interrogent : « Où sont-ils passés ? » Vision objective ou édulcorée que de considérer le Ramadan comme une simple parenthèse à refermer dans un long chapitre de vacance spirituelle ? Qu’est-ce qu’il en est en vérité de cette mine d’or ignorée, ce quatrième (4e) pilier de l’Islam ?

« Ô les croyants ! On vous a prescrit as-Siyam (le jeûne) comme on l’a prescrit à ceux d’avant vous, ainsi atteindriez-vous la piété » (Sourate 2 Verset 183) Entre juridisme et spiritualité, quelle doit être la place du Ramadan dans la vie du musulman ? Est-ce juste une parenthèse qui se referme, ou un chapitre qui s’ouvre ?

Le mois de ramadan, un mois de stage

En vérité, le mois béni de ramadan permet au musulman de faire ses provisions spirituelles pour le reste de l’année. Comme une station où il fait le plein de son réservoir pour entreprendre un voyage sur les onze (11) autres mois à venir.

Mieux, c’est au cours du Ramadan que s’aiguisent les aptitudes et les attitudes du musulman, où se forgent et s’éduquent son âme et son cœur en les conditionnant à ne plus flétrir.

La spiritualité ne part pas en vacances après le Ramadan. La preuve, juste après le mois bénis de Ramadan, arrive un autre mois lunaire, le mois de Chawwal au cours duquel, il est vivement conseillé de jeûner également. Le Messager d’ALLAH a indiqué que « celui qui jeûne tout le mois de Ramadan et l’accompagne de 6 jours de jeûne de Chawwal, ALLAH lui accorde les mérites du jeûne de l’an ». Et, il en existe toute une pléthore méritoire. Le jeûne du Ramadan habitue l’organisme à la saine privation pour observer ces différents jeûnes avec aisance, de sorte à mettre toujours le musulman dans une bonne ambiance de spiritualité, pour faire de lui, un modèle dans la société. Un homme qui craint DIEU, qui a peur du mal et du péché, qui respecte et aime son prochain, peu importe ses croyances et ses origines.

Le musulman, en goûtant à la faim, comprend que le pauvre a toujours besoin de son aide. En passant des nuits entières à prier, il se forge à réserver désormais une partie de sa nuit à l’adoration de Son SEIGNEUR, car le dernier tiers de la nuit, suivant les enseignements prophétiques, est le plus méritoire, dans le cadre de l’observation des prières surérogatoires nocturnes ou diurnes.

Après le Ramadan, la spiritualité ne part pas en vacances. Les prescriptions juridiques, les injonctions divines qui valent avant le mois béni de Ramadan, conservent leurs mêmes exigences après le Ramadan. Le SEIGNEUR du Ramadan, est Le SEIGNEUR des onze autres mois à venir.

Véritable laboratoire de perfectionnement de nos gibbosités morales, nos courbures spirituelles, école de vie et philosophie comportementale, le jeûne du Ramadan est une manière d’être à vie.

Il est sans aucune ambiguïté, la source la plus féconde de la revivification de l’âme et de l’oxygénation des cœurs, de purification de l’être profond, puisqu’il aboutit à la rémission totale des péchés du musulman.

C’est d’ailleurs pour cela qu’il a plu au SEIGNEUR des cieux, de dire qu’il « est le seul qui note, et qui connaît les mérites du jeûne ».

Le jeûne du Ramadan, n’est qu’en vérité, une sorte de fontaine d’où s’abreuve l’humanité assombrie du musulman, pour faire de lui, un rayon de soleil, illuminant tout autour de lui, par l’exemplarité de sa sagesse de vie.

Comme un beau soleil qui se lève pour affirmer et consacrer à jamais, son humanité.

Le Ramadan et l’affirmation de l’humanité du musulman

Le jeûne du Ramadan ne saurait s’enfermer dans le manteau d’une parenthèse, comme une simple caresse de vent. Il est le point d’ancrage et le point de départ, le support qui aide au saut, et au bond qualitatif.

Certains l’appellent « L’Illustre Etranger », mais en vérité, il n’est que la forme symbolisée de tout ce que la foi recommande de faire au quotidien. Une fontaine de jouvence spirituelle intarissable, une sorte de rempart contre toute sorte de passion, un bouclier contre les convoitises de l’âme et les susurrements sataniques dans le quotidien de la foi.

Les compagnons du Messager d’ALLAH (SAW Paix et Salut D’ALLAH soit sur Lui) avaient cerné la quintessence de ce pilier majeur de l’Islam. Ils le matérialisaient par cette rigueur intime dans la démarche spirituelle, du point de vue des rapports qui les liaient au Créateur, mais aussi, du point de vue des rapports qui les liaient à leurs semblables, étant donné qu’il n’y a pas d’expression de foi possible en Islam, dans la négation des autres, dans l’oubli des autres.

Les historiens et savants musulmans indiquent que les compagnons du Messager d’ALLAH (SAW) accompagnaient le mois béni du Ramadan sur 6 mois, et prenaient les 6 autres mois pour préparer sa venue.

Autrement dit, après six (6) mois de Ramadan, ils en étaient toujours nostalgiques. Ils gardaient la même ferveur, observaient la même régularité dans l’accomplissement des œuvres de piété et de bienfaisance. Ils prodiguaient sans cesse des enseignements sur la valeur et la dimension du Ramadan, la préservation de ses acquis, ne rompaient pas le cordon des bonnes actions et des œuvres de piété. Il n’y avait pas de récréation possible à observer, parce que tous étaient soucieux de se frayer une place de choix dans la matrice et la demeure de la Miséricorde divine.

Et, avant les 6 autres mois précédant la venue du mois de Ramadan, ils s’activaient avec entrain, pour apporter un plus de leur humanité au développement partagé. La crainte et l’incertitude de ne plus vivre un autre Ramadan les conditionnaient à obéir permanemment au SEIGNEUR, et à être au service des autres.

Leur souci majeur était de rencontrer La Face Eclairée du SEIGNEUR, en toute soumission exclusive et totale. En somme, ils vivaient toute l’année comme le Ramadan, en intime harmonie avec les dires du Messager d’ALLAH :

« Si seulement vous saviez la valeur du Ramadan, vous auriez prié LE SEIGNEUR pour que toute l’année soit Ramadan »

C’est donc un procès lamentable à sa propre foi, que de vivre sa foi, comme une simple parenthèse. Il n’y a pas d’adoration vouée au Ramadan. Le Ramadan ne sert que de prétexte, pour améliorer qualitativement sa foi, et enrichir son humanité.

Le jeûne du Ramadan et après ?

Il ne peut que produire un musulman plus pieux, capable de résister désormais à toute tentation.

Là où hier, passant auprès d’une jeune fille à l’allure svelte et foudroyante, ou d’un jeune homme au visage angélique qui propulsait son corps dans un tourbillon de frémissement poivré, il doit comprendre désormais, pour avoir étouffé l’ardeur de son corps avec la vertu thérapeutique du jeûne, qu’aucune chair périssable ne mérite de le détourner de la contemplation et la mention de Son SEIGNEUR.

Un acteur et un artisan de paix sociale, dont la bouche sera désormais celle de l’opprimé à travers laquelle celui-ci criera son ras-le-bol. Là où hier passant près de l’indigent, de la veuve, de l’orphelin, il plissait la lèvre d’indifférence et de mépris, il devra désormais offrir sa main de générosité agissante. Offrir une partie de son cœur, pour avoir goûté à la peine de ces laissés-pour-compte, à travers la soif, la privation, la faim vécues au cours du mois béni de Ramadan.

Dire ‘‘non’’ et résister à la corruption, au détournement de deniers publics, à l’incivisme et au mépris des lois républicaines. ‘‘Non’’ à la haine et à la violence, pour avoir renforcé son sens du partage, de la fraternité, de l’amour, de la justice.

‘‘Non’’ à toute activité illicite, puisque ses prières et son jeûne seraient échos avortés, si les biens qu’il utilisait pour la rupture de son jeûne étaient illicites. ‘‘Non’’ à l’orgueil et le mépris des autres pour avoir prié auprès du pauvre, pour s’être rabaissé au même titre que les autres, loin de l’apparat du rang social.

Un modèle de probité, de rigueur, d’intégrité, d’exemplarité en entreprise, dans l’Administration, au sein du corpus sociétal.  Un homme désormais engagé à se battre pour un monde meilleur. Ce plein d’énergie spirituelle emmagasinée à travers ces moments de prières et de recueillement profond et sincère, doit l’éloigner, à tout point de vue, de toute tentation et passion avilissantes.

En face de la moindre tentation, il devra se réfugier dans les pratiques du Ramadan : jeûne, lecture du Saint Coran, prière nocturne, fréquentation de la mosquée, méditation, aumônes, tout ce qui revigorera son âme et fortifiera son cœur.

Pas de perfection certes, mais la culture de l’excellence, du don de soi, de la sublimation.

Le jeûne du Ramadan est nul doute, une invite à l’émergence d’une soumission plus sincère et engagée, un autel qui s’offre en holocauste pour la mort des comportements paradoxaux qui minent nos sociétés.

Observer donc un mois de saine privation et d’illumination pour replonger dans les travers de l’immoralité, dans le désordre sexuel, l’alcool, la prostitution et tous ces vices immondes tels qu’on le voit chez une catégorie de porteurs de boubous le jour de la fête, investissant maquis et boites de nuit, n’est qu’égarement, et injure à la foi. Si de telles personnes étaient musulmanes (et le jugement n’appartient qu’à ALLAH SEUL), il est clair qu’elles n’auraient observé qu’un régime amaigrissant ou une grève de la faim, et non un jeûne. L’appellation caricaturale de ces personnes « musulmans du Ramadan ou musulmans saisonniers » ne dénote que de leur méconnaissance flagrante des textes de l’Islam, ou d’un manque de sincérité dans la pratique religieuse.

C’est d’ailleurs, la raison fondamentale pour laquelle le Messager d’ALLAH SAW a indiqué que « certains n’auront de mérite de leur jeûne que la faim et la soif ».

En tout état de cause, ALLAH est Pardonneur, et pardonne à tout pécheur, toutefois que la faute est reconnue et avouée, en sus de la demande de pardon et de l’engagement sincère du musulman à ne plus commettre le même péché.

Pour le reste, il est plus judicieux de dire :

« Adieu Ramadan, mais vive l’islam, car ALLAH n’est pas une parenthèse. »

Garder le cap et persévérer après le Ramadan. La preuve, juste après, un autre rendez-vous de haute spiritualité s’annonce : le pèlerinage à la Mecque. Et les bras continuent de balancer, parce que la marche est longue.

 

El Hadj Diabaté Fousséni (journaliste-écrivain)

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