Un projet de loi validé
il y a 1 anSur des affiches un peu partout, l’on peut lire « interdit d’uriner sur la voie publique, sous peine de trois à quinze jours et d’une amende de dix à cent mille francs… » Ce type de message n’est pas une farce, mais l’aboutissement d’un combat de longue haleine mené par le ministère de l’insalubrité.