Gens modestes, déterminés à réussir. Partis de (presque) rien, ils se retrouvent au sommet de la colline. Leur histoire continue d’inspirer. Mais quel est leur état d’esprit ?
Il est plus
aisé de les présenter à l’opinion publique et à la société. À cause
(probablement) de leur mental d’acier.
Cette rage
de vaincre sans pareil. C’est ce que l’on retient d’eux, au sortir des instants
de partage d’expériences.
Leur
portrait, souvent taillé sur mesure, donne l’impression qu’ils n’ont pas
échappé à leur destin. Cette piste, permet-elle de jauger réellement les
efforts consentis ? À propos, le meilleur tableau de l’artiste n’est-ce pas ce
qui est resté fidèle à la réalité (des faits). Du parcours, exceptionnel.
En l’espèce,
maints exemples (dé)montrent que « les mêmes causes ne produisent pas les mêmes
effets ». D’ailleurs, tous ne sont pas amenés à réussir dans le même créneau.
Et là encore, les têtes couronnées d’une corporation n’ont pas forcément la même
expérience. Heureusement !
De ce
constat, il est donc contre-indiqué de s’agripper à des formules (magiques)
comme le laissent croire certains gens, à travers les magazines (et autres
plateformes) de développement personnel. Et même si d’autres témoignent de
l’efficacité de ces principes, leur cas, exceptionnel tout de même, ne peut
servir de règle (en la matière). C’est quoi alors « réussir » ?
DE L’IDÉE MÊME DE RÉUSSITE
Tout germe
dans la tête. L’idée laisse place (très vite) à la volonté. C’est à ce moment
précis que l’on prend des engagements (avec soi-même). On s’y met, en ayant à
l’esprit un projet à long terme. Les abonnés aux raccourcis et à la facilité
sont, d’office éliminés. Voilà qui est clair !
La
perception de l’objectif final permet ainsi de déterminer les buts auxquels
l’on se consacre au quotidien.
En réalité,
la réussite est avant tout une question de vision. À cela, s’ajoute la
propension à avoir un niveau de conscience supérieur – qui permette d’accepter
les critiques, les rejets et les échecs. D’autres préfèrent dire qu’il faut
avoir une pensée positive ou être optimiste. Le principe, c’est d’appréhender les
bons côtés de chacune des opportunités sur le chemin du succès.
Ces examens
doivent pouvoir aider à prendre le dessus sur les difficultés, car comme le dit
l’adage : « Tout sert à apprendre ».
En
l’intégrant, on a la certitude d’être ouvert à la réussite. Mais sommes-nous
vraiment en train de réussir ?
DE L’ACTION DU LEADERSHIP
Ils sont
devenus riches, sans forcément la sensation d’avoir réussi. Pourtant, d’autres,
plus modestes, jouissent de leur situation. Grâce (assurément) aux plaisirs que
leur procure ce qu’ils font au quotidien. Un sacerdoce auquel ils sont voués, considérant
qu’ils sont (eux-mêmes) des leaders.
Certains ont
décidé de servir Dieu. D’autres se sont consacrés aux plus faibles. D’autres
encore ne sont focus que sur une seule activité (sportive, politique,
économique…). En réalité, ils prennent plaisir à donner le meilleur d’eux-mêmes
aux autres.
Ils sont
passés à l’action pour qu’autour d’eux les choses changent favorablement.
Parfois avec un peu de peur, mais sans incrédulité. Parce qu’ils ont compris
ceci : « Seul, on va plus vite, mais ensemble, on va plus loin ».
L’exercice
exige une discipline. Une capacité à faire ses propres choix et à apprendre à
s’évaluer – objectivement.
En ayant
constamment à l’esprit qu’on est différent - et plus confiant - dans ce que
l’on a décidé d’entreprendre. Et donc, de réussir.
La rédaction